J’enfoncerai dans ton antre
Le poing de tes orgasmes
Bousculant ta masculinité
Conquérant tes moindres parois
T’obligeant à m’appartenir
Pour le meilleur et mon désir
Hydre à deux tête que je suis
Je me servirai d’une seconde verge pour t’entrouvrir la bouche
Mais pas pour te faire parler
Non, pour te faire avaler
Et quand ton délicieux supplice prendra fin
Alors tu te prosterneras
L’âme vide et le cul plein.